Ce n’est pas si compliqué d’être un bon manager ! (partie 2)

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Dans la chronique de l’été, nous avons abordé (très schématiquement) les étages reptilien et limbique du cerveau. Voyons ce mois-ci comment maintenir votre salarié au niveau cortex, ce qui le rendra d’autant plus productif et performant.

La perte de motivation peut naître d’une critique mal formulée sur un travail ou un comportement, perçue comme non constructive. La meilleure façon de critiquer, dans ce cas précis, est de mettre l’élément négatif de votre discours en « sandwich » entre deux éléments objectivement positifs.

Exemple : John, t’as très bien réalisé la 1ère partie du projet [élément ++]. Pour que le client soit pleinement satisfait et nous recommande, tu devrais aborder la suite comme ceci-cela [élément — ; notez que c’est une autre façon de lui dire que son travail aurait pu être meilleur]. Pour y arriver, je te propose de demander à Clara de t’aider car elle maîtrise bien la question / les outils [élément ++].

Exercice : repensez aux situations où vous n’étiez pas satisfait du travail, et aux critiques formulées. Ensuite, trouvez les éléments ++ caractérisant par ailleurs les salariés concernés (il y en a toujours). Puis, placez les éléments — entre deux éléments ++. Entraînez-vous !

Enfin, faites le test en réel, vous serez surpris du résultat ! Non seulement la personne concernée va rester au niveau cortex, mais en plus (et comme par hasard) elle commencera à trouver que vous êtes un super manager 🙂

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