Dans le cadre des discussions au Sénat sur le « projet de loi relatif à la résilience des infrastructures et au renforcement de la cybersécurité », l’Anssi a dévoilé son rapport annuel sur l’état de la cybermenace. L’agence annonce avoir traité 4 386 « événements de sécurité » sur des systèmes informatiques en France l’année dernière, contre 3 703 en 2023.
Ces dernières années, les entreprises sont de plus en plus passées des vitrines physiques aux plateformes numériques, et ce changement a un impact profond non seulement sur l'efficacité commerciale mais également sur l'environnement.
Les administrateurs systèmes et réseaux jouent un rôle clé dans le maintien et l’optimisation des infrastructures informatiques, et ce métier se révèle donc indispensable à l’heure du numérique.
Depuis plus de trois ans, les start-up françaises rencontrent des difficultés, avec moins de financements et des coupes budgétaires inédites. « Ce sommet a fait du bien à l’écosystème. Il a donné un nouvel élan. Je n’avais pas vu cela depuis 2021. Il a permis de s’aligner sur un même projet », se réjouit Franck Sebag, associé chez EY. Un événement qui insuffle une dynamique positive pour les acteurs qui composent l’écosystème de la French Tech.
Selon le type d’IA souhaité le prix n’est pas le même, comptez entre 1 000 et 5 000 euros pour un programme basique et pour un programme avancé, 10 000 à 50 000 euros. Sans oublier le coût du développement et d’intégration, les infrastructures techniques, la maintenance et les mises à jour, les formations ou encore les licences et les abonnements qui varient selon les prestataires. Des sommes conséquentes et notamment pour des petites entreprises.
À l’ère du numérique, la protection des données est devenue un enjeu majeur. PME, organisations gouvernementales, grandes entreprises… Personne n’est à l’abri d’une cyberattaque. Face à ces risques, David Bizeul et Freddy Milesi fondent Sekoia en 2020. L’objectif ? Fournir aux entreprises et organisations publiques les meilleures capacités de protection contre les cyberattaques. Aujourd’hui, Sekoia protège plus de 500 sociétés, dont Danone, EDF ou Marlink, et emploie une centaine de salariés.