« Le réflexe » commissaire-priseur

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Il existe un « conseil » auquel les chefs d’entreprise ne pensent pas naturellement : le commissaire-priseur. Il s’agit d’un millier de professionnels présents sur l’ensemble du territoire, spécialistes de l’estimation, de l’expertise et de la vente aux enchères publiques. Disposant d’une « double casquette », professions libérales pour les ventes volontaires, officiers publics et ministériels dans le cadre de l’exercice judiciaire, ils bénéficient d’une formation complète et d’une connaissance des biens aussi divers que les objets d’art, les biens d’équipement, les machines outils, les stocks, les fonds de commerce…

Ils sont les garants de la valorisation des actifs de l’entreprise. Le commissaire-priseur intervient pour aider le chef d’entreprise et défendre ses intérêts. Certains des biens de l’entreprise qui n’ont pas de valeur comptable peuvent, en revanche, avoir une réelle valeur marchande. Le commissaire-priseur saura valoriser ce patrimoine.

Depuis la loi croissance et activité, le commissaire-priseur judiciaire est également compétent dans la vente de biens immatériels, qu’il s’agisse d’une marque, d’un brevet… autant de « richesses » qui sont souvent oubliées dans l’estimation de l’entreprise.

L’organisation d’une vente aux enchères publiques, qu’elle soit physique ou numérique (via interencheres.com et drouotlive.com notamment), permet, de son côté, l’établissement du « juste prix » d’un objet grâce à une confrontation transparente et publique de l’offre et de la demande.

Donc plus d’hésitation, adoptez le réflexe commissaire-priseur !

Nicolas Moretton
Président des CNCPJ

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