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« Oui, cette pensée wokiste est une approche de plus en plus totalitaire de la vie quotidienne et sociale »
C’est vendredi.
Les rats rient et le temps est à la réflexion.
Et à Harvard ou à Berkeley la pensée wokiste se développe comme une puissante anesthésie.
On encadre, on verrouille, on impose, on condamne, on excommunie, on emprisonne la pensée au nom d’une liberté aux effets totalement inverses.
On privilégie la vindicte et toutes les formes d’exclusion au nom de la démocratie et du peuple un peu plus de 90 ans après Staline et Hitler. On veut des droits pour toutes les minorités et que les majorités aillent se faire voir, ces peuples d’ouvriers, de salariés ou d’agriculteurs marqués par le pire fer rouge, celui de la normalité.
Oui, cette pensée est une approche de plus en plus totalitaire de la vie quotidienne et sociale car elle ne peut s’affirmer que par la haine, le mépris et la dévaluation des autres… exactement comme le font les sexistes, les racistes et les homophobes.
Or si les constats justifient le besoin de penser et d’agir en respectant mieux les minorités, si ces revendications sont souvent justes, ces contestataires réussissent de plus en plus à les déprécier et les marginaliser.
Et les universités se régalent de ces nouveaux martyrs du capitalisme, du racisme, du sexisme en abritant dans leurs murs cette pensée totalitaire.
Pas étonnant qu’ils applaudissent le HamaSS. Entre totalitaires réels et potentiels … l’écart n’est pas si grand.