Si les relations amoureuses passagères nées via l’entreprise existent, le sociologue Denis Monneuse croit aussi aux relations durables : « Quand on franchit le pas, c’est qu’on est sûr·es, on prend le risque de voir sa relation échouer et de constater des tensions qui viendraient nuire au bon fonctionnement de l’entreprise ».
À en croire les chiffres dévoilés par l’Autorité nationale des jeux (ANJ), le nombre de joueur·ses en ligne était brutalement passé de 300 000 à 500 000 en quelques semaines. Un effet confinement qui pourrait prospérer au-delà de la pandémie. Et entraîner avec lui un risque d’addiction.
Dompter l’enfer du métro parisien. Si une correspondance à Châtelet-Les Halles vous a déjà donné quelques sueurs froides, imaginez la galère endurée par toutes ces personnes en déficience visuelle.
Si le féminin l’avait « emporté » sur le masculin. Si, au XVIIe siècle, une grammairienne protégée par la reine du royaume de France avait édicté sa règle : le féminin, à l’évidence supérieur à la condition inférieure masculine, doit s’imposer.
Sur l’année 2019, selon une étude du groupe NPD, plus de 23,2 millions de boîtes ont été vendues en France, pour près de 578 millions d’euros de chiffre d’affaires.
« T’as de beaux masques, tu sais… » Le coup de la réplique culte de Jean Gabin risque de ne pas attirer la réponse tout aussi culte de Morgan : « Embrassez mon masque… » Pourtant, on drague plus que jamais en France et dans le monde. À quelques variantes près.
Privé des trois quarts du visage, « le lien social est défiguré », les « rites d’interaction » sont bouleversés, reconnaissent les spécialistes...
Si vous osâtes le demander, Mesdames, vous reçûtes (à domicile pour les Parisiennes) un authentique sextoy, gratuit, un petit rose tout en pétales, distribué partout en France.
On se souvient tous, ou presque, de ces pubs mythiques, balises de nos jeunesses télévisuelles. Flash-back 1991 : une jeune femme blonde, assoiffée, gravit une montagne en quête de l’improbable bouteille de Perrier qui trône au sommet.