Un train pas comme les autres…

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L’ÉVÉNEMENT

C’est bien sûr le Train de la Relance. Non pas le Plan du même nom. Mais bel et bien un vrai train qui, du 6 septembre au 2 octobre, va embarquer à son bord l’optimisme. Après deux ans d’un succédané de train virtuel, c’est pour moi, créateur du Printemps de l’optimisme, une très grande satisfaction. En partenariat avec un grand nombre d’entreprises et des pouvoirs publics, l’État va communiquer massivement sur la promotion des mesures du Plan de relance, en s’appuyant sur le témoignage des acteurs locaux, sur les job datings mis en place par Pôle emploi. Il est important de considérer qu’à côté de l’information, utile pour la reprise, on peut lui adjoindre l’idée de la confiance plus forte en mobilisant les Français autour de leurs énergies positives.

Au sortir, espérons-le, de la crise sanitaire, les Français ont besoin de raisons d’espérer et de se projeter dans l’avenir. Il est dans notre vocation, depuis la création du Printemps en 2013, sans nier les difficultés, de valoriser les traceurs, les innovateurs, les entreprenants, plus que les « diseux ».

Avec l’appui de La Ligue des Optimistes de France et de ses délégués territoriaux, avec Reporters d’espoir et notre réseau de plus de 20 000 membres, j’ose affirmer que nous sommes le premier incubateur d’énergies positives du pays. Durant presque un mois, et au-delà de la communication des partenaires comme EDF, Train Expo, la SNCF, Pôle Emploi et tous les services de l’État mobilisés, le Printemps de l’Optimisme de son côté offrira au public la participation de personnalités inspirantes, des ateliers, des animations positives. À bord de l’une des voitures du Train de la Relance, plusieurs des grandes animations du Printemps, dont la Librairie de l’Optimisme, le tout à retrouver sur le site du Printemps,
www.printempsdeloptimisme.com. Précision importante, le Train partir de la Gare de l’Est.

LA PERSONNALITÉ

J’apprécie beaucoup Silvia Garcia, ancienne directrice marketing de Coca-Cola où elle a créé le Happiness Institute, autrement dit l’Institut du bonheur de Coca-Cola. Formée à la science du bonheur auprès de Martin Seligman, ce chercheur en psychologie qui nous a fait l’honneur de nous rejoindre à Paris lors d’un Printemps passé, et de Matthieu Ricard, notre bonze préféré, elle se consacre au bonheur au travail et au bien-être des salarié·es. Son expérience se révèle déterminante. À l’heure où des critiques s’élèvent à l’encontre de l’altruisme et de la bienveillance, au nom d’une clameur sur les réseaux sociaux qui s’insurge, style « on n’est pas des bisounours », des personnalités comme elle restaurent ces valeurs essentielles dans l’ordre de l’optimisme, s’impliquent, interviennent dans les entreprises, apporte des conseils fructueux. Tous ceux et celles qui font avancer cette espèce de contrat gagnant-gagnant entre bonnes conditions de travail, bien-être et, en même temps, les performances économiques de l’entreprise vont exactement dans le bon sens.

LE LIVRE

Celui de Jean Viard, le sociologue, La Révolution que l’on attendait est arrivée, au sous-titre probablement encore plus explicite, le réenchantement du territoire. Il explique très clairement en quoi et pourquoi nous avons changé en vivant local et planétaire, télétravail et livraisons, respect pour les soignants, les caissières, les livreurs, les agriculteurs. Il montre que nous traversons une tragédie qui nous a fait grandir, avec un grand retour des territoires et des lieux, et peut-être même un autre sens à la vie. 

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