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EDITORIAL
n°7
N
Aussi et pour bien débuter cette année, quoi de mieux que de traiter ces questions liées à l’optimisme, au bonheur et à l’enthousiasme, valeurs pionnières de la création de notre EcoRéseau. Pour vous donner ou redonner des motifs d’espoirs, nous sommes allés à la rencontre de personnalités de secteurs très épars ; instructif et passionnant. En guise d’étrenne, vous découvrirez également le DicoRéseau® 2014 ; totalement inédit. En cette période de soldes, ne bradons pas l’entrepreneuriat et l’innovation, et permettons-nous d’y croire. Bienvenue en 2014.
Cette volonté d’aller de l’avant se confirme cette année - à l’aube de notre premier anniversaire - avec plusieurs évolutions que nous assumons pour votre plus grand confort : - un passage en mensuel : rythme de parution idéal pour le traitement de l’actualité, pour la réflexion et l’analyse ; tout en vous laissant suffisamment de temps pour « consommer » pleinement votre journal. - un changement d’image progressif : en partenariat avec l’école e-artsup et l’agence ANoir, nos équipes ont revisité notre Une et l’ensemble de notre maquette, désormais plus dynamique, plus visuelle et plus aérée. - Le renforcement de notre équipe journalistique et éditoriale pour toujours plus d’informations, d’échanges et d’idées. - un site internet prochainement remanié avec toujours plus d’innovation. En d’autres termes, des ajustements déjà incontournables pour continuer avec vous notre marche en avant.
ous avons eu l’audace, il y a un an déjà, de lancer notre journal EcoRéseau sur une simple volonté : traiter l’information économique et stratégique autrement. Les problèmes et les difficultés sont notre lot quotidien ; mais pourquoi y consacrer tout notre temps et y occuper toutes nos pensées ? C’est la question que nous soulevions en adoptant une ligne éditoriale résolument optimiste et tournée vers l’avenir. Notre crédo, et certainement notre manière de penser.
Faire de l’optimisme un virus contagieux
C
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Jean-Baptiste Leprince Fondateur & directeur de la publication
hers compatriotes, nous sommes démasqués. Cloués au pilori, miTartuffe, Misanthrope. C’est clair : notre dégoût de l’avenir, notre passion des mauvaises nouvelles, notre atavique scepticisme n’étaient que postures. Postures habiles, d’ailleurs : jouer les déprimés a toujours fait recette. Pour conquérir une belle, mieux vaut empoigner sa guitare et fredonner du Jacques Brel, qu’empoigner un bon copain et faire résonner Patrick Sebastien. C’est justement alors que tout le pays pensait Ne me quitte pas (en parlant de la croissance) qu’est arrivée cette satanée couverture de Closer. Brusquement, comme un seul homme, grisés par l’odeur de l’alcôve comme un militaire par celle de la poudre, nous avons troqué nos gris costumes de pessimistes pour les rubans colorés de la frivolité. La Syrie ? Oh, on s’en occupera demain. Le déficit ? Quel déficit ? La réforme de l’école ? Mon fils y arrivera bien toujours. Dieudonné ? Dans le fond, il est amusant. Les chiffres, d’ailleurs, sont éloquents. La conférence de presse de François Hollande où devait être abordé le sujet de la supposée liaison, diffusée en
Cachez ce sein…