Vite compris le 21 février

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Egalim Agnès Pannier-RunacherGouvernement : une volonté, faire respecter les lois Egalim • La ministre déléguée à l’Agriculture et à la Souveraineté alimentaire, Agnès Pannier-Runacher, a réitéré hier matin sur RMC l’engagement du gouvernement à faire appliquer les lois Egalim. Ces lois qui visent à garantir une juste rémunération aux agriculteurs. Alors que les tensions montent à l’approche du comité de suivi des négociations commerciales, le gouvernement se veut alors ferme, en promettant des comptes aux industriels et à la grande distribution en cas de non-respect. Pourtant, les résultats concrets tardent à se manifester, malgré les discours qui visent à rassurer. Enfin, seulement quelques jours avant le Salon de l’Agriculture et une colère agricole grandissante, le gouvernement semble être en difficulté pour rétablir l’équilibre dans les négociations commerciales et faire appliquer les lois Egalim controversées.

Tour EiffelTour Eiffel : fermeture prolongée pour la Dame de Fer • La Tour Eiffel reste close pour la deuxième journée consécutive, à la suite d’une grève déclenchée par les syndicats CGT et FO, qui dénoncent une mauvaise gestion du site par la mairie de Paris. En plein cœur des vacances scolaires d’hiver et à quelques mois des Jeux olympiques et paralympiques, les syndicats tentent donc de faire fléchir la mairie sur un modèle jugé « intenable » pour la Société d’exploitation de la Tour Eiffel (SETE). Alors que les discussions financières sont en cours, avec une possible augmentation des tarifs, les syndicats insistent également sur la modernisation des infrastructures. Pendant ce temps, la frustration des visiteurs, principalement étrangers, monte d’un cran tandis que la Dame de Fer reste inaccessible.

Bahamas EgalimL’UE lâche du lest sur l’évasion fiscale ! • Jusque-là, les Bahamas, Belize, les Seychelles et les îles Turks et Caïcos étaient considérés comme des paradis fiscaux. Aujourd’hui, ce ne sont plus que des paradis insulaires. L’Union européenne a décidé de les retirer de sa liste noire contre l’évasion fiscale. Ils ne font désormais plus partie des territoires étiquetés comme « non-engagés dans un dialogue constructif avec l’UE sur la gouvernance fiscale ». Sur cette liste noire demeurent, en revanche, encore 12 paradis fiscaux. Le Panama, la Russie ou encore les Samoa américaines par exemple. Et en théorie, pour toutes ces juridictions, les échanges commerciaux avec les entreprises européennes sont censés être plus compliqués. Dans les faits, plusieurs ONG dénoncent un système « vide de sens » puisque la liste noire ne contient même pas les paradis fiscaux européens comme le Luxembourg par exemple.

etherL’ether talonne le bitcoin et pourrait même surperformer • Non, il n’est pas prévu que l’ether explose au-delà des 50 000 dollars comme l’a fait le bitcoin. En revanche, sa dynamique pourrait surperformer, notamment par rapport à celle de la crypto reine. C’est simple : tous les voyants sont au vert pour l’ether. Depuis un mois, la deuxième monnaie la plus capitalisée du marché a monté de 22 % en prévision d’un éventuel ETF ether spot. Le bitcoin a ouvert la voie aux ETF en janvier, et l’ether devrait emprunter le chemin défriché sans difficultés majeures. Le courtier américain Bernstein ajoute aussi que l’ether pourrait devenir la nouvelle coqueluche des acteurs de la gestion institutionnelle. Sa compétitivité sur les frais de transaction en fait un candidat très crédible. La voie semble donc royale pour toucher du doigt les performances du bitcoin dans les prochains mois.

PonziLa City bernée par une nouvelle pyramide de Ponzi • On s’en croyait vacciné après l’affaire Madoff, mais, visiblement, les systèmes de Ponzi gangrènent toujours la finance mondiale. Les victimes cette fois ? 11 600 clients du centre financier de la City, à Londres. Le bourreau ? La société London Capital & Finance (LCF). Cette dernière aurait refourgué des obligations illiquides à ses clients – principalement des personnes âgées et/ou handicapées – en dissimulant les risques que cela engendrait. Pour verser les intérêts aux détenteurs d’obligations, la société piochait dans le compte de ses autres clients, en bref le coup classique. On évalue la pyramide à 237 millions de livres sterling.

crédits : shutterstock

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