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Robolution, intelligence artificielle, deep learning, chatbot, réalité virtuelle, datatelling, snapchat, facebook messenger, linkedin, design thinking, l’obsession de l’UX, l’adtech, marketing 4.0.
Désormais, chaque humain aura « un assistant intelligent ». Chacun aura son confident, son « chatbot », son agent conversationnel. « L’intelligence artificielle » peut répondre à l’Homme. Le premier grand gagnant semble être « facebook messenger » !
Bruno Bonnell, le père des robots français, invente la « robolution » : addition de « robot » et de « révolution » car avec des machines intelligentes, rien ne sera plus jamais comme avant ! Avec le « deep learning » et des réseaux de neurones artificiels, Google Siri et Cortana peuvent apprendre à reconnaître des visages et même inventer des images improbables. Les programmes rêvent !
La « révolution digitale » bat son plein. « Snapchat », qui offre la possibilité de partager des photos et des vidéos pendant un temps limité, se développe à coup de mises à jour saluées par les abonnés, comme celle de créer sa propre « story » et de raconter des moments de vie.
Rien n’arrête « la digitalisation », que l’on soit entreprise ou citoyen. Le « social selling » accélère la prospection de nouveaux clients en mettant à profit les « datas » des réseaux sociaux. Et « l’obsession de l’UX » devient crédo : toujours faire évoluer l’interface de l’appli en fonction de l’expérience utilisateur !
Le petit monde des médias, lui, thésaurise ses scandales et ses incertitudes.
« Morandini » est mis en examen pour « corruption de mineur aggravée ». Le 16 novembre, les salariés « d’i-Télé » votent la fin d’un mois de grève, la plus longue grève dans l’histoire de l’audiovisuel privé. « Karine Le Marchand » transforme l’interview politique avec son « Ambition Intime » sur M6. « France info, une marque télé ? », telle est l’autre question de circonstance !
Au fait, nous serions passés au « marketing 4.0 » avec de « l’adtech » et de la publicité « programmatique » en fonction des récoltes des « data scientists ». Si tout cela vous dépasse, votre « chatbot » pourra-t-il vous conseiller « une detox numérique » ?