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Fin 2020, les menaces climatiques sont toujours présentes.
Malgré les élus verts, la convention climat, les cris des militants, la nature blessée continue de conter ses bleus.
• Des guêpes nous envahissent.
• Les pesticides. Le débat sur les perturbateurs endocriniens, les oubliés de Lubrizol prêchent dans le désert…
Et il y a toujours plus de tempêtes, plus de canicules. Désormais, on en parle même au pluriel, bushfires ! C’est aussi l’enfer californien.
La convention citoyenne sur le climat rôde, a lieu, est évoquée et reste opaque… fumeuse dirions-nous ?
La pandémie sur les oliviers continue, les dégâts des microplastiques s’affichent dans les journaux régulièrement et L 214 s’occupe toujours de la cause animale !
Un PIB écologique, un ISF climatique. Pour contrebalancer, on lance l’hydrogène. La piétonisation et le vélo électrique sont au goût du jour.
C’est un retour à l’essentiel. Il faut réparer. Il faut verdir, verdissement est un mot qui s’impose. Faire soi-même est une des nouvelles expressions des magazines féminins.
Les épiceries solidaires et les potagers solidaires s’étendent. L’épargne solidaire est louée !
Le luxe doit être lui aussi éthique, responsable, durable, authentique. Et aussi solidaire !
Ces adjectifs sont les cinq adjectifs consacrés de l’année 2020.
La beauté écologique fait suite à la clean beauty. En cette année qui ébranle profondément nos émotions, la beauté résiliente rôde aussi. C’est là, un lien lexicologique peu étonnant. Oui la beauté peut réparer.