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A chaque nouvelle rentrée, son nouveau Pacte. L’objectif de celui-ci, le Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (PACTE), est de faire émerger des propositions concrètes et efficaces pour soutenir la croissance des entreprises de toutes tailles et dans tous les secteurs.
Ainsi, le gouvernement a lancé en ce début d’année une mission sur la vision de l’entreprise dans la société. La RSE s’inscrit au cœur de cette réflexion.
Je pense que les entreprises, aussi protéiformes soient-elles, ont un rôle majeur dans le pacte social qui structure notre société. Au-delà de leurs objectifs de productivité, elles sont un ciment de la cohésion sociale entre ses membres.
Aujourd’hui, les attentes des citoyens évoluent, les défis environnementaux et la compétition internationale s’intensifient et challengent les entreprises qui ne peuvent plus faire l’impasse d’une réelle démarche RSE.
La RSE est un atout du travailler autrement, si elle apparaît comme une volonté affichée de l’entreprise, et ce, à tous les stades de la carrière des collaborateurs. D’une part, c’est un réel enjeu de recrutement, car s’il a fallu plus de quinze ans pour assoir sa reconnaissance, la conscience collective est désormais activée. D’autre part, c’est un atout majeur de fidélisation des talents parce que les collaborateurs pourront être fiers des démarches engagées, qu’il s’agisse du partage de la valeur ajoutée ou de la gouvernance, par exemple.
Espérons que le gouvernement comme les organisations syndicales et patronales sauront trouver un équilibre pour transformer au mieux l’entreprise.