La pédagogie de projet, la polyvalence et l’innovation ont toujours été le cheval de bataille de IONIS Education Group. Cela semblait donc évident qu’ils tirent le meilleur de chaque école pour faire de leurs étudiants des champions de l’entrepreneuriat. Welcome au campus numérique et créatif de Paris.
Au pays d’HEC, les instituts d’administration des entreprises (IAE) constituent une alternative à moindre frais, et sur les mêmes thématiques (finance, comptabilité, gestion, marketing…). Mais ce réseau tire à hue et à dia.
Plus qu’une hybridation des compétences, les écoles à deux visages promettent aux recruteurs de créer des profils polyvalents, agiles et (intra-) entrepreneuriaux.
Elément incontournable du folklore de l’enseignement supérieur – et pas seulement dans les grandes écoles –, les associations étudiantes constituent une réelle opportunité de se roder à la vie en entreprise. Recruteurs et Etat en sont convaincus.
Volontiers plus discrets que les fameuses générations Y ou Z, surexposées, les quadras sont aujourd’hui empreints d’un malaise, d’un « blues » profond. Les entreprises peinent à leur répondre. Leur boîte à outils est plutôt dépouillée, la formation à la traîne.
Révolution numérique oblige, les métiers mutent. Certains même se créent. Un vrai casse-tête pour les recruteurs qui cherchent à débusquer leurs futurs collaborateurs.
Répartis sur tout le territoire, les Instituts d’administration des entreprises (IAE) jouent sur le même terrain que les business schools, à moindres frais. Etudiants et recruteurs les voient-ils de la même façon ?
Régulièrement réformée, la formation professionnelle fait parler d’elle. Pas toujours dans un sens positif. Pour autant, les formats courts peuvent enrichir un CV.
Les grandes écoles sont à pied d’œuvre pour adapter leurs programmes, sur des parcours spécialisés ou généralistes, car les recruteurs ont un besoin criant.