Le secteur du luxe est très présent dans nos régions, avec souvent des emplois à haute-valeur ajoutée (et les salaires qui vont bien). De surcroît, la plupart de ces actifs sont impossibles à délocaliser. Cela pour d’évidentes raisons lorsqu’il s’agit de vins, champagnes, cognacs et autres spiritueux. Mais la chose est presque aussi certaine pour des produits comme la maroquinerie, le parfum, la joaillerie…
Le défi s’annonce décisif pour l’ensemble des territoires. Entre préparation à l’afflux touristique et mesures régionales de soutien aux entreprises sur cette période, les régions se préparent à un été bien singulier. À chacune ses atouts.
À chacune ses talents. Entre secteurs de pointe, cœurs d’activité et spécialités régionales, de l’industrie à l’assiette, tour d’horizon des pépites régionales.
Dans sa dernière étude de conjoncture sur l’économie francilienne, la Banque de France détaille cette reprise régionale : le rebond de l’activité est réel sur le mois de mai, particulièrement dans l’industrie et le bâtiment, très affectés par la crise.
L’excellence de l’accompagnement du BIC associée à l’effervescence des innovateurs qui y sont hébergés offrent au start-uper tous les ingrédients pour réussir et développer son entreprise
37 657 agences bancaires fin 2017, au sein de l’hexagone. Plus d’une pour 36 000 communes ! Vous avez plus de chance de trouver l’enseigne d’une banque au coin de la rue qu’un bureau de tabac (24 900) ou La Poste (17 000 agences). Mais les agences bancaires vont fondre sous l’effet du climat numérique. Alors, à quel banquier vont parler les entreprises des territoires ?
Entreprendre en Provence-Alpes-Côte-d’Azur… Rêve, utopie, nécessité, opportunité ? Les 9 et 10 octobre, à Marseille, le Salon des Entrepreneurs (SDE) a démontré que toutes les motivations sont bonnes, mais surtout que, de Marseille à Nice, de Sophia-Antipolis à Avignon, cette région et ses métropoles constituent des viviers industriels étonnamment actifs, ouverts sur l’international.