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Les meilleurs rendements à moyen et long termes
Face à la faiblesse des rendements obligataires et à la volatilité des actions, il offre rentabilité et sécurité
Avec plus de 6 milliards d’euros de collecte nette en janvier sur le Livret A (un record depuis 2013) et un montant global de la « surépargne » française liée à la pandémie estimée à 120 milliards d’euros par la Banque de France, les ménages français sont à la tête d’une petite fortune. Compte tenu de l’incertitude persistante sur la durée et l’ampleur de la reprise, les ménages devraient continuer de placer une partie de cette cagnotte « covid » dans l’immobilier.
La pierre jouit d’une place à part chez les Français·es. Investissement important en direct, il est envisagé pour préparer sa retraite et/ou bénéficier d’un avantage fiscal. Toutefois, l’immobilier papier est devenu, lui aussi, au fil des ans, un placement incontournable dans la constitution d’un patrimoine. Immobilier direct et indirect présentent des caractéristiques très différentes et des atouts indéniables, encore faut-il choisir le placement le plus adapté à ses besoins, sans se soucier des effets de mode. En pierre ou en papier, l’immobilier est un actif de long terme qui défie l’air du temps.
L’investissement locatif immobilier est dominé par trois grandes familles : les dispositifs Malraux/Monument historique/déficit foncier, la loi Pinel et le statut de loueur meublé non professionnel. Chacun répond à un objectif précis. « Je propose toujours à mes clients un comparatif très simple, sachant qu’avec le même montant investi de 300 000 euros par exemple, il bénéficiera, dans la plupart des cas, de la même réduction d’impôt, mais répartie sur des durées différentes », explique Bruno Petit, CAP chez K&P Finance.