L’art soviétique bénéficie d’une rétrospective géante au Grand Palais. Une exposition monumentale riche de plus de 400 œuvres aux ambiances multiples : de la révolution d’octobre 1917 à la mise en place progressive du réalisme strict et socialiste de Staline.
1661, le succès est enfin au rendez-vous pour Molière, et il en profite pour annoncer ses fiançailles avec Armande Béjart, la fille de Madeleine, sa compagne depuis plus de vingt ans…
Dans un décor somptueux et une mise en scène au cordeau de Steve Suissa, Huster y est magistral, passant d’un personnage à l’autre avec une aisance incroyable, à deux doigts de la schizophrénie, à l’image de Robert de Niro qui avait créé le rôle au cinéma en 1993. Incontournable !
Le dernier opéra de Mozart sera entendu soit comme un merveilleux conte pour enfants, soit comme la plus ardente méditation sur l’existence humaine. Et puis, c’est un ouvrage de référence pour les francs-maçons : une belle histoire féerique pour certains, certes, mais le sujet de l’opéra est aussi l’éducation de l’être humain à accéder à une moralité plus élevée en acquérant sagesse, amour et bonté.
Retour tant espéré des Chicos Mambos, une troupe qui avait triomphé en 2018 avec son show Tutu. Signé Philippe Lafeuille, il met en scène six danseurs – comédiens uniques en leur genre, car ils nous entraînent dans un authentique maelstrom visuel bourré d’humour.
Le musée des arts primaires continue de nous étonner avec ses programmations. Pour nous occuper pour ce printemps et le début de l’été, le Quai Branly donne la part belle aux au-delà asiatiques.
L’ancienne résidence des rois de France située à Saint-Germain-en-Laye, lieu également de signature de nombreux édits royaux dont l’édit éponyme de 1678 qui a participé à fixer le français comme langue de référence dans tout le royaume, est depuis une décision de Napoléon III l’écrin de l’archéologie nationale.