Nous sommes engagés dans au moins quatre transitions. Une transition écologique : tout simplement vitale. Une transition démographique : inéluctable pour notre pays en voie de vieillissement. Une transition numérique : mondiale et (op) pressante. Et une transition entrepreneuriale, c’est-à-dire l’évolution progressive d’une société de salariés en CDI vers une société d’entrepreneurs.
Casser les codes. Les nombreuses success stories de ceux qui l’ont fait, comme les GAFA, nous feraient presque oublier l’indispensable saut dans le vide qu’ils ont eu le courage d’opérer pour inventer des modèles complètement inédits et révolutionner les usages.
L’amélioration des conditions de travail des collaborateurs fait l’objet de toutes les attentions. Tout ceci ne peut qu’aller dans le bon sens car améliorer la qualité de vie au travail est non seulement dans l’intérêt des collaborateurs, mais aussi des entreprises.
Après des années à analyser les évolutions du digital et ses conséquences à travers le monde pour les marques, il est temps de confronter ces décryptages à la réalité des expériences des marques qui sont ancrées dans notre quotidien.
L’économie française, après trois ans de croissance insuffisante, connaît une croissance de +0,6 % par trimestre en moyenne. Cette année affichera sans doute la plus forte croissance depuis 2011, à savoir + 2,1 %.
La numérisation est devenue une partie inhérente de la fonction financière, de nombreux domaines étant automatisés. Alors que l’automatisation des lieux de travail est souvent considérée comme négative et synonyme de pertes d’emplois pour de nombreuses personnes, elle peut faire exactement le contraire
Le regard et les discours sur l’échec entrepreneurial commencent à changer en France. Pour aller plus loin encore, il faut que l’échec soit vu comme une simple étape dans un parcours, l’important étant de développer et de laisser s’exprimer la capacité de rebond des entrepreneurs.