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Une enquête longue de 18 mois menée par la commission sur le numérique, la culture, les médias et le sport de la Chambre des communes du Royaume-Uni a étudié notamment le phénomène de désinformation en ligne qui émane de Facebook. Cette commission, la DCMS, créée dans la foulée du scandale Cambridge Analytica, plaide pour une régulation urgente de Facebook qui agirait au-dessus des lois. 170 témoignages et 4 350 questions plus tard, la commission qualifie la plate-forme sociale de Mark Zuckerberg de « gangster du numérique » et considère que le géant mondial a induit en erreur le Parlement tout comme il aurait également réalisé de fausses déclarations. Les Britanniques n’y vont pas avec le dos de la cuillère à thé.