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Une chronique signée Anne Baron, directrice générale de l’association Les Rebondisseurs Français.
Cette année, l’événement entrepreneurial BIG a mis en lumière la métamorphose de l’économie et des entrepreneurs. Mais pour que la réussite entrepreneuriale de demain prenne le bon chemin, ne faudrait-il pas faire changer le regard sur les « accidents » de parcours des entrepreneurs afin de les valoriser comme cela est d’ores et déjà le cas dans certains pays ?
C’est grâce aux erreurs, aux épreuves traversées ou encore aux chutes, que l’on apprend. Pourtant, au programme, rien sur le rebond. Et si nous faisions du rebond entrepreneurial la richesse et grande cause de demain ?
S’ouvrir aux autres pour rebondir
Le nocode est devenu un vrai outil et révolutionne la tech. Pour impliquer ses clients et « makers », l’un des principaux acteurs du nocode Alegria.group propose une levée de fonds collaborative. Une idée intéressante qui prouve la richesse de l’aventure entrepreneuriale. Et qui montre aussi qu’un entrepreneur, s’il veut grandir ou rebondir, peut – voire doit – s’ouvrir aux autres.
Quand le fondateur de Blablacar rebondit… pour la bonne cause
Avec Captain Cause, pas de blabla pour les bonnes causes. Adieu le « greenwashing » : l’objectif de cette nouvelle start-up vise à créer des liens entre associations et entreprises afin que des projets en manque de moyens puissent rebondir grâce à des dons synonymes de vraie implication et non de communication. Un nouveau modèle économique pour le milieu associatif ? En attendant, c’est un rebond engagé à suivre de près.