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n°3
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CLuB EnTrEPrEnDrE
on libre
12&13 JUIN
LYON
Centre de Congrès
ven 2.0
le mélomane devenu homme d’affaires a pu solliciter des investisseurs, d’abord un banquier qui a apporté 10 000 euros, puis des business angels à hauteur de 100 000 euros, qu’il voit au moins une fois puis le pricing, avant de convenir d’un abonnement annuel de 20 euros et de vite parvenir à l’équilibre. D’où lui vient cette énergie créatrice ? Peut-être de sa formation primaire et secondaire gner de l’argent de poche », se remémore ce mari d’une femme sculpteur qui possède trois galeries et prépare une exposition internationale.
2013
t iTunes, quoi de plus simple pour Eric Lipmann, » de… 75 ans ?
L’événement
N°1 des créateurs & dirigeants d’entreprises
suite De La
“La musique est un langage
par semaine pour bénéficier de leurs conseils. « J’ai fait les trois quarts des investissements par mon temps de travail et la mise à disposition de ma collection, évaluée à cinq millions d’euros. Si j’étais
qui s’exprime autrement que par les mots
américaine. La progression nazie a obligé sa famille juive à fuir durant la seconde Guerre mondiale, et ce natif de Besançon en 1938 s’est retrouvé dès le plus jeune âge aux Etats-unis où « le business
”
allé voir les financiers au début, avant d’accumuler, je n’aurais trouvé personne », précise le web-entrepreneur. Cet optimiste forcené a tâtonné sur le business model
coule de source. J’ai été marchand de bonbons, de journaux, et ai même joué le rôle de celui qui aide les enfants à traverser, avec mon badge et mon bâton blanc, pour ga-
partition « C’est une aventure qui ressemble à la vie, qui s’apparente à une naissance ; nous élevons notre bébé, nous voulons en faire un génie, nous empruntons », compare ironiquement ce père de cinq enfants, dont des jumeaux de 37 ans. Mais l’aboutissement du rêve n’empêche pas le réalisme. « N’oublions pas que le marché français ne représente que 6% du marché international », déclare ce parfait bilingue qui a toujours tout traduit en anglais. « Nous ne voulions pas attaquer le marché américain à cause de sa législation compliquée et des investissements colossaux qu’il exigeait. Après avoir rencontré des acteurs anglais peu coopératifs, nous avons trouvé un terrain d’entente avec des Allemands devenus nos partenaires, pour que nous proposions notre produit outre Rhin dès septembre. » La suite ? ubifrance a réalisé pour la start-up atypique une étude sur trois pays, la Chine, le Japon et la Corée. « Le retour a été formidable, par des gens prêts à nous rencontrer et à investir. En octobre nous débarquons sur le marché coréen. Les implantations informatiques y sont gigantesques et surtout ils sont en avance sur l’e-book », déclare celui qui ajoute des musiques techno à sa collection. Sur la péninsule, l’ebook représente 45% du marché du livre, contre 25% aux Etats-unis ou 3% en France. S’étant associé à une entreprise française spécialisée, le visionnaire compte bien réaliser les premiers e-books musicaux, avec opéras et encyclopédie musicale. Les charentaises et la télévision attendront...
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Matthieu Camozzi
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