« Drill, baby, drill ! » (« Fore, bébé, fore ! »). C'était son slogan de campagne. « On nous parle tout le temps de la montée des océans dans 500 ans, qui s’en soucie ? ». C'était ce qu'il déclarait le 1er novembre lors de son meeting à Milwaukee, dans l’État du Wisconsin. Et les exemples ne manquent pas. La vision de l'écologie du milliardaire américain fraîchement élu 47e président des États-Unis, nous la connaissons déjà. D'ailleurs, les termes « climat », « environnement » et « écologie » ne figureraient même pas dans son programme.
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