Les Anglais ont toujours excellé dans le marketing et le storytelling à outrance, en témoigne encore le battage médiatique autour de Leicester City, qui a remporté le championnat de football outre-Manche.
Le Printemps de l’Optimisme s’exporte à Nice, ainsi que les Trophées Optimistes EcoRéseau Business. Une bonne nouvelle pour cette manifestation qui cherche à réveiller les énergies et à fédérer ceux qui aspirent à bouleverser l’ordre établi.
Ca y est, la page hivernale se tourne dans la bonne humeur. Les médias ont pourtant lourdement insisté sur le fameux « Blue Monday », ce troisième lundi du mois de janvier estampillé jour le plus déprimant de l’année d’après les scientifiques, à cause du froid, des dettes de Noël à rattraper et des bonnes résolutions déjà balayées.
Le temps d’une soirée animée les journaleux d’EcoRéseau Business, dans une salle enfumée dont les murs sont recouverts de calendriers multicolores – on peut être féru d’innovation et manquer de goût décoratif – ont vécu un moment de grâce, durant lequel le vieux pendule, le réveil olfactif inventé par Guillaume Rolland ou la SmartWatch se sont arrêtés.
«Tout vient à point qui sait attendre… » Ce proverbe, attribué à François Rabelais dans Pantagruel, parait incomplet. «…et le meilleur survient à celui qui se bouge » pourrait être une bonne suite.
La ligne éditoriale du journal EcoRéseau – que nous avons toujours souhaitée entrepreneuriale au sens large du terme et délibérément positive – nous encourage à constamment voir plus loin, plus haut, plus beau.
Mais que se passe-t-il au mois de novembre ? Rien. Grisaille, attente désespérée de la neige et des fêtes sous des cadavres de feuilles qui voltigent dans l’air froid, brumeux et pluvieux. Une petite fête quand même ? Ah oui… celle des morts !
Qui a dit qu’en été notre cher lecteur(trice), parce qu’il(elle) est allongé(e) au soleil avec un mojito dans une main et les doigts de pieds en éventail, met entres parenthèse ses lectures économiques de l’année ?