Violences

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A cause de la covid-19, le mot incertitude a marqué l’année.
Chacun a eu l’impression de l’extension du domaine de l’isolement. On se sent vulnérables. Malgré le virus des fêtes clandestines, le coliving, le sport connecté en salle et une certaine solidarité, on est perturbés et on distingue mal ce qui prend du sens.

Justement les mots essentiel et non-essentiel, plus déterminants que jamais, ont été mal perçus par le public qui n’était pas d’accord avec le gouvernement. Pourquoi une librairie ne serait-elle pas essentielle ?

La jeunesse se sent sacrifiée, les violences se poursuivent et se répandent des familles aux banlieues. C’est une année sombre où solitude est un mot qui est réapparu.

Vaccination, complotisme, distanciation, deuxième vague restent des mots dominants qui nous montrent à quel point les cafés nous manquent.
Mais en cette fin d’année 2020, même si on reste toujours mobilisés, à bonne distance, à l’épreuve du masque et que le tourisme est mort, il y a un tout petit peu d’espoir, car le mot vaccination commence d’être prononcé.
Est-ce la fin de l’isolement ?

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