Une double compétence dans une carrière de consultant : un atout rare et recherché
Par Théophile Claudel et Octave de Lussac, étudiants Audencia Grande Ecole
QUELLE EST LA VALEUR D’UN BAGAGE TECHNOLOGIQUE AU SEIN D’UNE SOCIÉTÉ DE CONSEIL ?
Le conseil...
Consultant en stratégie : enfer ou paradis ?
La gestion du personnel se fait de façon à ce que les consultants ne soient pas débordés tous les jours. Cependant, ils sont malgré tout très occupés, et travailler tard n’est pas un problème en soi car ils sont absorbés par ce qu’ils font et ne réalisent pas à quel point il peut être tard.
« Le Top 3 des idées reçues sur l’entreprenariat… » par Nils Degremont, École Supérieure du...
Étant son propre patron, pour les salariés, l’entrepreneur fait comme il veut. Monsieur Big boss travaille tranquille derrière son écran, ayant un mode de vie différent d’un salarié mais compréhensible par un autre entrepreneur.
« Projets bétons ! » à l’ESTP Paris
À la reprise de ma dernière année d’étude, j'ai continué dans cette voie en commençant un Projet industriel d’entrepreneuriat et de recherche (Pier), en partenariat avec l’École française du béton.
Deux projets retenus à l’École des Cadres
Notre concept met littéralement fin aux discussions Facebook interminables où chacun propose un restaurant sans trouver de compromis.
« À tous ceux… » par Janaï Kalla, de l’EM Normandie
Pour ceux qui veulent débattre de sujets qui leur tiennent à cœur,
Pour ceux encore un peu KO, faute à l’entraînement pénible de la veille,
Pour ceux qui ont décroché en aidant un camarade...
« Enfant du monde » par Céline Vincent-Carrefour de l’IDC Business School
Implants, montres connectées, écouteurs sans fils, cœurs artificiels… Le monde est en perpétuel changement et devient petit à petit un autre monde. Autrefois, il fallait 100 ans, voire plus, pour révolutionner le monde entier.
« Songe stellaire et prêt-à-porter » par Aymeric Bloquet de l’ESAM
La symphonie de l’inventivité et de la persévérance humaine s’est peu à peu transformée en une cacophonie algorithmique, cryptée au rythme de la léthargie et de la simplicité. Il faut se rendre à l’évidence, nous ne sommes plus que des spectateurs dans le théâtre de nos vies.
« Remiehzla » par Shirin Pakrouz de l’IAE de la Sorbonne
Si vous connaissez une personne victime de Remiehzla, faites-lui toucher la terre, sentir les fleurs. Vous lui offrirez ainsi un moment de répit et de bien-être. Qui est-elle, me demandez-vous ? Sachez seulement que comme elle a décidé de me faire régresser, j’ai décidé d’écrire son nom à l’envers…
« Capitaine je suis, capitaine je serai » par Benjamin Beau, IAE Lyon School of Management
J’ai décidé de devenir marin, j’aime naviguer sur le radeau que j’ai construit avec mon équipage d’experts. Nous nous sommes mis d’accord pour le construire en bambou, parce que c’est résistant et esthétique.
« Biosun : pour en finir avec le sable » par l’équipe Biosun de l’IUT de...
En guise de micro-nouvelles, nous avons rassemblé d’authentiques projets « industriels » conçus par notre pléiade de jeunes gens invités à concevoir un produit ou un service ou une filière écologique. Le projet retenu nous a séduits par son utilité des plus pragmatiques, le schéma de la visualisation de l’objet et l’absence totale de chimie dans la composition de la lotion. Reste à trouver pour le flacon un composé biodégradable…
« Au milieu, autour, partout… » par Richard Gentilella de l’IAE Nice
EcoRéseau Business le clame haut et fort : il existe en France un ferment entrepreneurial et littéraire dans les esprits, qui ne demande qu’à se concrétiser. La preuve avec ce concours de micro-nouvelles organisé dans chaque numéro auprès des étudiants d’une école, où ceux-ci doivent imaginer une start-up qu’ils jugent révolutionnaire parce qu’elle va bouger les lignes dans le futur.
« Le fil conducteur » par Marion Trémolière de Montpellier Business School
EcoRéseau Business le clame haut et fort : il existe en France un ferment entrepreneurial et littéraire dans les esprits, qui ne demande qu’à se concrétiser. La preuve avec ce concours de micro-nouvelles organisé dans chaque numéro auprès des étudiants d’une école, où ceux-ci doivent imaginer une start-up qu’ils jugent révolutionnaire parce qu’elle va bouger les lignes dans le futur. Expérience des plus réussies ce mois-ci avec Le fil conducteur, micro-nouvelle de Marion Trémolière de Montpellier business school qui nous décrit sa solution transhumaniste géolocalisée.
« Soundmates » par Charlotte Marek de l’ISIT
EcoRéseau Business le clame haut et fort : il existe en France un ferment entrepreneurial et littéraire dans les esprits, qui ne demande qu’à se concrétiser. Expérience des plus concluantes ce mois-ci avec l’ISIT et la lauréate de ce numéro 51, Charlotte Marek, qui a imaginé Soundmates, plateforme de e-learning et de mise en relation entre musiciens pour pallier, telle celle de l’entrepreneur, la solitude du mélomane qui pratique un instrument.
« Baby watch » Vincent Maury de l’École des Ponts Business School
EcoRéseau Business le clame haut et fort : il existe en France un ferment entrepreneurial et littéraire dans les esprits, qui ne demande qu’à se concrétiser. Expérience des plus concluantes ce mois-ci avec l’Ecole des Ponts Business School et le lauréat de ce numéro 50, Vincent Maury, qui propose une solution connectée dans la santé pour prévenir la mort subite du nourrisson. Instructif.
« Souriez, vous maigrissez ! » par Sarah Lafleur de l’IFAG Paris
EcoRéseau Business le clame haut et fort : il existe en France un ferment entrepreneurial et littéraire dans les esprits, qui ne demande qu’à se concrétiser. Expérience des plus concluantes avec les étudiants de l’IFAG Paris qui n’ont pas manqué d’imagination. Sarah Lafleur, lauréate pour cette édition, grâce à son idée dans la smart santé avec une dent connectée dans un style pétillant non dépourvu d’humour et de légèreté. « Souriez, vous maigrissez ! »
« Okaray » par Shana Enkaoua Meghira et Shana Sebban de l’Ecole de management Léonard de...
EcoRéseau Business le clame haut et fort : il existe en France un ferment entrepreneurial et littéraire dans les esprits, qui ne demande qu’à se concrétiser. Expérience des plus concluantes ce mois-ci avec l’EMLV avec l’originalité à souligner pour cette édition que la start-up décrite est réellement en projet. Les deux lauréates du mois de mars ont conçu Okaray, une start-up qui révolutionne notre rapport à l’art de façon interactive et ludique. Juste bluffant!
« L’examen médical » par Guillaume Ouattara de l’Université de technologie de Compiègne
EcoRéseau Business le clame haut et fort : il existe en France un ferment entrepreneurial et littéraire dans les esprits, qui ne demande qu’à se concrétiser. Expérience des plus concluantes ce mois-ci avec l’UTC (Université de technologie de Compiègne) et Guillaume Ouattara, le lauréat de ce numéro double qui a imaginé la médecine de demain. Résultat, des méthodes non invasives, non lourdes et rapides où les biotech rencontrent les algorithmes. Bonne lecture.
« Everybody knows » par Thomas Fons de Grenoble École de Management
EcoRéseau Business le clame haut et fort : il existe en France un ferment entrepreneurial et littéraire dans les esprits, qui ne demande qu’à se concrétiser. Expérience des plus concluantes ce mois-ci avec GEM (Grenoble Ecole de Management) et Thomas Fons, le lauréat du mois de novembre qui a imaginé une IA appelée Sky qui remplace le processus démocratique en étant capable de nommer aux hautes fonctions des profils triés par algorithme. Bonne lecture.
« Deep Walker » par Pierre-Marie Soulat de MS Centrale-ESSEC Entrepreneurs
EcoRéseau Business le clame haut et fort : il existe en France un ferment entrepreneurial et littéraire dans les esprits, qui ne demande qu’à se concrétiser. Expérience des plus concluantes ce mois-ci avec notre lauréat, Pierre-Marie Soulat, inscrit au MS Centrale-ESSEC Entrepreneurs et fondateur de la start-up Aregia, qui imagine, non sans plume, une jeune pousse du biomimétisme appliqué aux abysses marines.
Qui va piano va dans le mur presto
Tribune libre. Les « antivax » soudain mués en « provax » sous l’effet lenteur !
Signature électronique : la pandémie est-elle sous contrôle ?
Pour les professionnels qui recourent à la signature électronique, l’enjeu économique risque de devenir substantiel dans les temps à venir.
Au sein de GEA Invest, des bonbons au parfum d’ambition
Avec Bonbonprint, une entreprise qui personnalise des boîtes de bonbons, Paul-Luc Perez vise à concilier fond et forme. D’abord parce que les bonbons fabriqués relèvent du made in France, artisanaux, et bien sûr 100 % naturels.
Les règlements de comptes vont commencer
Fallait-il vraiment se confiner à ce point ? Dimanche, le président de la République contaminée parlera sans doute de « la fin de notre épreuve, mais la prudence nous oblige à rester encore prudents », de la « sagesse de ce peuple qui, par sa discipline, a vaincu ce virus vénéneux » et « il est temps de retrousser nos manches » (dans cet ordre ou un autre).
CHRONIQUEURS & EDITORIALISTES
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- Ethique & Finance, par Arthur Cohen
- L'onde positive, par Thierry Saussez
- Les héros du clavier, par The Family
- Les petits matins des dirigeants, par IsaLou Régen
- Salauds de patrons ! par Julien Leclercq
- Strategy Review, par Pascal Junghans
- J'aime ma boîte, par Ethic
- Jugement de valeurs, par CCI France
- Le droit en pratique, par Alto Avocats
- Perspective, par Philippe Bloch
- Dématique® & gouvernance, par Jean-Marc Rietsch
- Travailler autrement, par Patrick Levy-Waitz
Plus
Boulanger de France : une marque engagée
Le « fait maison », c’est notre identité, notre signature. C’est aussi la solution pour assurer la survie de notre métier et de nos savoir-faire.
N’oublions pas l’onboarding à distance !
L’onboarding à distance n’est pas une transformation complète mais une adaptation aux nouvelles contraintes.
LES + LUS
L’année numérique 2021
David Fayon, actuellement le responsable du programme Time To Test à La Poste pour l’innovation ouverte avec des start-up et PME innovantes, nous livre son analyse personnelle des avancées technologiques dans le monde entier, avec ce souffle critique de l’observateur au quotidien.
L’économie post-covid, avec ou sans « bain de sang » entrepreneurial
Les TPE/PME risquent la grande décimation de 2022 si de vraies « ruptures » n’entrent pas en action. Les économistes Patrick Artus et Olivier Pastré (photo) définissent les huit ruptures vitales pour l’après-covid.