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Les Trophées Optimistes d’ÉcoRéseau Business ont rendu leur verdict.

La nouvelle édition des Trophées Optimistes a décerné six récompenses lors d’une cérémonie co-organisée avec la CCI Paris Île-de-France, au sein du prestigieux hôtel Potocki, dans le VIIIe arrondissement de la capitale.

David Layani, Lucie Basch, Frédéric Mazzella, Anne-Sophie Tuszynski, Guillaume Gibault, et l’entreprise Qonto ont été récompensés.

La nouvelle édition des Trophées Optimistes a décerné six récompenses lors d’une cérémonie co-organisée avec la CCI Paris Île-de-France, au sein du prestigieux hôtel Potocki, dans le VIIIe arrondissement de la capitale.

Que ce fut dur de les départager, à la fin il n’en reste que quelques-uns. Alors que le magazine ÉcoRéseau Business fête ses dix ans, les Trophées Optimistes ont rendu leur verdict jeudi 16 mars. Une remise de prix qui s’est tenue avec le soutien de Monsieur Bruno Le Maire et sous le parrainage du ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Cette année, pas seulement deux catégories, ni cinq comme prévu… mais six ! Avec un Prix spécial du jury (Made in France) venu s’ajouter aux trophées de l’Initiative positive, de l’Entreprise de l’année, de l’Électron libre, du Rebond, et de l’Entrepreneur de l’année. Découvrez les lauréats.

Le Trophée Électron libre est décerné à… Frédéric Mazzella ! 

QUE RÉCOMPENSE-T-ON ?

On ne vient jamais à bout de l’entrepreneuriat. Pour nombre de nos entrepreneurs à succès, à quoi bon se satisfaire d’une seule, voire plusieurs, réussite(s), même probante(s) ? Alors ils repartent à l’aventure, s’exposent au risque d’échouer… Peu importe, ils ont ce besoin de créer dans la peau. Parfois même dans des secteurs où l’on ne les attendait pas. Bref, ce Trophée Électron libre récompense des personnages avant tout, des gens qui bougent les lignes par leur imagination ou leur volonté. Insatiables entrepreneurs…

LE LAURÉAT
Frédéric Mazzella (BlaBlaCar, Captain Cause)
Frédéric Mazzella et Jean-Baptiste Leprince
Frédéric Mazzella (droite), avec Jean-Baptiste Leprince, directeur de la publication d’ÉcoRéseau Business.

En 1994, Frédéric Mazzella intègre le conservatoire national supérieur de musique de Paris. Il pratique le piano. Il se dirige ensuite vers une classe préparatoire scientifique à Henri IV, il rentre à l’ENS puis étudie à Stanford en 1999. Pour payer ses frais de scolarité, l’entrepreneur travaillera pendant trois ans dans le laboratoire de robotique affilié au département de physique de son université américaine, qui collabore notamment avec la Nasa.

Dans la grande famille des start-up, il joue le rôle du taulier. Frédéric Mazzella, fondateur de BlaBlaCar, est à la tête de l’une des plus grandes licornes tricolores. Si l’entrepreneur flaire le bon filon et débute l’aventure BlaBlaCar avec un business plan établi sur cinq ans, ce n’est qu’en 2009 qu’il se versera son premier salaire ! BlaBlaCar c’est plus de 100 000 membres et une rentabilité depuis plus de 5 ans désormais. Avec cette triple ambition : soulager le portefeuille des utilisateurs, lutter contre la pollution et donc le réchauffement climatique, créer du lien social.

Voilà qui fait déjà un sacré parcours… Mais évidemment, cela ne lui suffit pas. En haut de l’affiche, il se réinvente avec Captain Cause. L’idée ? Offrir des dons préfinancés à vos collaborateurs, qui peuvent ensuite choisir de les utiliser pour soutenir l’association de leur choix. « Fred » Mazzella place sa réussite au service du collectif citoyen.

IL L’A DIT

« J’ai remarqué qu’avec l’électron libre, à 95 % il est où l’on croit, et à 5 %, il est ailleurs. C’est aussi comme ça que je fonctionne […] Dès qu’on me montrait une autoroute, je voulais prendre la bretelle pour sortir […] J’ai trouvé ma case qui est : pas de case, hormis celle de l’électron libre […] Je suis heureux de faire partie des entrepreneurs qui ont l’esprit libre ».

Les nominés pour cette catégorie étaient :
  • Céline Lazorthes (Leetchi et Resilience care), « elle rêve d’un autre monde »
  • Dominique Brogi (Monsherif), « elle vient en aide aux femmes en détresse »
  • Guillaume Gibault (Le Slip français et l’Usine du futur) « il prône le made in France »

Le Trophée Entreprise de l’année décerné à… Qonto !

QUE RÉCOMPENSE-T-ON ?

Ces entreprises qui brassent des millions. La réussite, c’est souvent un pari sur l’avenir, nombre d’entrepreneurs l’ont bien compris. Leur entreprise ou start-up sont soit pionnières au sein d’un secteur nouveau et prometteur, soit elles ont révolutionné un marché jusque-là endormi… le Trophée Entreprise de l’année distingue une innovation marquante et viable, qui a su séduire son marché et, souvent, les investisseurs.

LA LAURÉATE
Qonto, fondée par Steve Anavi et Alexandre Prot
Alexandre Prot à la soirée des Trophées Optimistes
Alexandre Prot

Ne lui dites surtout pas qu’elle est une banque. C’est pareil… mais en tellement mieux. Qonto révolutionne la manière de payer et d’organiser son budget. Cet établissement de paiement, entièrement dématérialisé, est très prisé par les investisseurs en tous genres. L’entreprise, cofondée par Alexandre Prot (qui fut à la Une d’ÉcoRéseau Business en mai) décolle vers les sommets. Cette néobanque est décidément le signe d’un monde qui change. Cette solution s’avère d’autant plus utile à l’heure de l’inflation – qui concerne aussi les frais appliqués dans les banques traditionnelles… Raison de plus pour sauter le pas et rejoindre un univers dématérialisé, mais fort de valeurs profondément humaines.

Alexandre Prot est le fils d’un banquier, Baudouin Prot, qui dirigea le groupe BNP Paribas. Lui aussi a choisi la finance, mais dans le camp d’en face, celui des start-up vouées à révolutionner et à concurrencer le vieux monde de la banque traditionnelle. Il a cofondé Qonto en 2016, à 39 ans. La jeune entreprise annonçait en janvier 2022, une levée de fonds record de 486 millions d’euros, qui la valorise à 4,4 milliards d’euros. « C’est un peu vertigineux », concède l’entrepreneur. La prochaine étape, si l’entreprise devient rentable, pourrait être une introduction en Bourse. « L’avantage serait de pouvoir lever plus de capitaux, d’attirer les bons talents avec la rémunération et la visibilité que la cotation permet. Il y a aussi un avantage psychologique, si un jour nous faisons partie du CAC 40, cela donne une start-up un peu différente ».

IL L’A DIT

« On suit de très près les chiffres de création d’entreprises en France […] J’espère qu’il y aura de plus en plus d’entrepreneurs dans notre pays […] On est très content de voir cette effervescence, à la fois dans des secteurs « tech », mais aussi dans des secteurs plus traditionnels »

Les nominées pour cette catégorie étaient :

  • onepoint (David Layani, président-fondateur), « la championne de la transformation numérique ».
  • Sorare (Nicolas Julia et Adrien Montfort) « devenir le leader mondial du divertissement »

Le Prix spécial du jury est décerné à… Guillaume Gibault

QUE RÉCOMPENSE-T-ON ?

Ce prix-là n’était pas prévu. Mais le jury nous réserve parfois quelques surprises. Lors des délibérations, il ne pouvait pas ne pas récompenser – à l’unanimité – cet entrepreneur qui traduit l’ADN et ce que met en lumière au quotidien ÉcoRéseau Business : le « fabriqué en France ». Ce prix spécial résonne comme un coup de cœur venu distinguer un parcours audacieux, celui de Guillaume Gibault. Lequel est parvenu à faire du Slip Français la référence du made in France.

LE LAURÉAT
Guillaume Gibault (Slip Français, l’Usine du futur)
Guillaume Gibault (centre)

Qui ne connaît pas Le Slip Français ? Cette marque de sous-vêtements fabriqués en France est désormais dans toutes les têtes. Son initiateur, le fringant Guillaume Gibault, ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Que voulez-vous, c’est un entrepreneur, donc un éternel insatisfait, qui a toujours soif d’aller plus loin, plus haut, plus fort. Il invente désormais l’Usine du futur, dans un décor inspiré de l’univers des Daft Punk. Objectif : donner aux Français la conscience de l’industrie, l’envie de produire au cœur de l’hexagone. Slip, charentaises, pyjamas, polos… Guillaume Gibault voit grand.

Fraîchement diplômé d’HEC, il rentre chez Bio C’bon comme chef des ventes. Une première expérience réussie où il rencontre son manager, un véritable entrepreneur. C’est décidé, il veut monter sa boîte. C’est alors que l’histoire du Slip Français se dessine sur un pari entre amis alors qu’il se vantait de pouvoir vendre n’importe quoi… même des slips sur Internet. Un pari gagnant.

Il a ainsi lancé les Ateliers du Slip. Face à la volonté de l’industrie textile française de rapatrier massivement ses productions, le Slip Français qui propose depuis 2011 une ligne de vêtements entièrement fabriquée en France, lance une levée de fonds pour développer les Ateliers du Slip, son service d’accompagnement des entreprises à la relocalisation.

Le Slip Français a annoncé en mars dernier avoir réuni 3,58 millions d’euros auprès de 2.242 investisseurs. Des fonds notamment destinés aux Ateliers du Slip. L’annonce de cette forme de levée de fonds avait été faite à l’occasion de l’Usine du Futur, exposition sur laquelle Le Slip Français avait réuni les machines de différents fournisseurs sur le salon Made in France Expo. La société, lancée il y a maintenant onze ans, s’est donné quatre grands axes stratégiques pour cette levée de fonds : recherche et développement sur les matières locales, intégration de l’upcycling à grande échelle (produits finis comme matière première), structuration d’une équipe dédiée à cette activité BtoB, et financement des lancements de production.

IL L’A DIT

« J’aime bien l’idée du Prix spécial, je crois que je le suis depuis 12 ans, le truc qu’on n’attend pas, le slip […] Depuis 2011, on a créé deux choses, le slip que vous connaissez tous […] et un mouvement de relocalisation français […] Il n’y a pas de hasard, que des rendez-vous, et celui-là est pris […] Ceci n’est pas un slip, c’est un symbole de l’industrie qui redémarre ».

Le Trophée de l’Initiative positive décerné à… Lucie Basch

QUE RÉCOMPENSE-T-ON ?

Plutôt que de se fondre dans le moule, certains entrepreneurs ont décidé d’agir et de lutter, à leur échelle, contre l’un des multiples travers de notre société. Environnement, égalité, diversité, transmission… ce Trophée Initiative positive met à l’honneur des convaincus, des engagés, mal à l’aise à l’idée de perpétuer le « sens de l’histoire », pas toujours très juste.

LA LAURÉATE
Lucie Basch, Too Good To Go
Lucie Basch à la soirée des Trophées Optimistes
Lucie Basch

Prix mérité pour la jeune entrepreneure de 31 ans. Avec Too Good To Go trois repas sont sauvés chaque seconde. Nul n’aura de mal à le reconnaitre, cette entreprise – présente dans 17 pays et qui compte 1 200 collaborateurs relève de l’intérêt général ! Ces tonnes de nourriture comestible qui s’amoncellent dans les poubelles des restaurants avaient tout d’une aberration. Alors la nouvelle lauréate s’est soulevée contre ce gaspillage. Depuis 2016, son idée a sauvé plus de 200 millions de paniers repas à travers le monde.

En créant une marketplace qui met en relation les restaurateurs et les clients, Too Good To Go récupère une manne vouée jusque-là à rejoindre les déchetteries. En fin de service, la nourriture invendue est proposée sur l’application à prix réduits. Des clients parfois ric-rac peuvent alors profiter de ces plats. De son côté, le restaurateur transforme une perte sèche en nouvelle source de revenus. Tout le monde s’y retrouve ! Lucie Basch a bel et bien tourné la page Nestlé, son ancien employeur. Ses anciens n+1 ne cessaient de lui répéter : « produire plus vite et moins cher ». Une absurdité, l’entrepreneure a finalement décidé de voler de ses propres ailes.

ELLE L’A DIT

« J’ai toujours eu envie de parler de solutions, plus que des problèmes. Les faits ? 40 % de ce que l’on produit par an sur Terre part à la poubelle. Alors, on a créé Too Good To Go autour du triptyque gagnant « écologie, économie et social ». En sept ans, tout est allé très vite, nous sommes fiers de l’impact que l’on peut avoir sur l’inspiration d’autres entrepreneurs qui veulent construire les solutions de demain. Car Too Good To Go est focalisé sur le gaspillage alimentaire, mais il existe d’autres types de gaspillage. On a besoin de plein de gens, donc allez-y ! Il y a encore tout à faire pour créer la société dans laquelle on a envie de vivre demain »

Les nominés pour cette catégorie étaient :
  • Maud Caillaux (Green Got), « changer de banque pour changer le monde »
  • Justine Huteau (Respire), « vers une cosmétique plus naturelle et made in France »
  • Maxime Viry (Be Player One), « rendre les jeux vidéo plus inclusifs »

Le Trophée du Rebond est décerné à… Anne-Sophie Tuszynski

QUE RÉCOMPENSE-T-ON ?

Faillites successives d’entreprises, maladies ou accidents de la vie, handicap(s), lourd passé… ce Trophée Rebond récompense celle ou celui qui a su faire preuve de résilience, de persévérance, et de sursaut, pour remettre sur les rails un destin bien mal embarqué. Celle ou celui qui n’a pas baissé les bras après un, deux, trois ou moult échecs… pour finalement rencontrer le succès.

LA LAURÉATE
Anne-Sophie Tuszynski (WeCare@Work)
Anne-Sophie Tuszynski

L’histoire de cette entrepreneure a touché le jury autant qu’elle l’a épaté. À 39 ans, après le diagnostic d’un cancer, Anne-Sophie Tuszynski ne se laisse pas abattre. Elle l’assume auprès de sa direction et décide de se battre pour s’en sortir. Un véritable exemple de persévérance et de résilience. Après avoir vaincu la maladie elle retourne au travail, mais… tout a changé. L’ancienne RH n’est plus en phase avec son métier. Deuxième coup dur. Pourtant – encore une fois – notre lauréate ne laisse pas son moral en berne prendre le dessus sur sa volonté de rebondir. Nous commençons à la connaître ! Alors, elle se lance en 2019 dans l’entrepreneuriat avec WeCare@Work.

Sa start-up s’inspire de son histoire, pour éviter que d’autres ne la vivent. WeCare@Work distille une offre de conseils et de services aux dirigeants sur la qualité de vie au travail (QVT) et les moyens de concilier maladie et vie active. Traiter une personne différemment sous prétexte de maladie n’est pas une solution. Quand elles gardent toutes leurs capacités cognitives et se sentent capables d’exercer leurs fonctions, elles devraient pouvoir le faire sans problème. Éduquer et accompagner les entreprises dans cette démarche, c’est le travail de WeCare@Work !

ELLE L’A DIT

« J’aimerais que vous reteniez autre chose que le cancer que j’ai eu. Je voudrais que vous ayez en tête le nombre de personnes qui sont touchées par une maladie grave ou chronique dans vos entreprises. C’est environ un employé sur quatre. Chez nous, à WeCare@Work, on fait la preuve que c’est possible de créer des entreprises quand on a été malade. Que c’est aussi possible de concilier vie professionnelle active et maladie. Perdre des talents ça coûte cher aux entreprises. Mettre des personnes à l’arrêt ça coûte cher à la Sécurité sociale. Alors, ensemble adoptons les solutions WeCare@Work au profit des personnes malades qui gardent un emploi et au profit des entreprises qui continuent à être performantes !

Les nominés pour cette catégorie étaient :

  • Anthony Bourbon (Feed), « il a connu la rue avant les sommets »
  • Fatiha et Raibed Tahri (Pap et Pille), « ils ont rebondi grâce aux réseaux sociaux »

Le Trophée Entrepreneur de l’année décerné à… David Layani

QUE RÉCOMPENSE-T-ON ?

Il ou elle fait bouger les lignes. Parce qu’à un moment donné, notre Entrepreneur de l’année a su prendre le bon wagon, oser et innover. Qu’il soit autodidacte ou un produit des écoles les plus renommées, il mène avec passion, abnégation et conviction sa mission pour atteindre des objectifs insoupçonnés. Sa performance remarquée est durable, et encore source d’inspiration pour conquérir de nouveaux marchés.

LE LAURÉAT
David Layani (onepoint)
David Layani, en compagnie de Sophie de Menthon (présidente d’Ethic)

Cela fait plus de 20 ans que cet entrepreneur né accompagne les entreprises dans leurs transitions numériques. Il a 22 ans quand il crée onepoint en 2002. À l’époque, le Web se démocratise, on entre doucement dans la deuxième génération d’Internet, mais il n’a absolument pas la place centrale qu’il occupe aujourd’hui. Alors, si David Layani  estimait il y a quelques mois dans nos colonnes que cette future révolution se voyait « comme le nez au milieu de la figure », il n’en dénote pas moins d’une vision aiguisée du business. Le voilà maintenant l’un des pionniers d’un secteur ultra-porteur qui a chamboulé l’économie et la société, en seulement deux décennies.

« Dès le départ, nous voulions être grands ». Non, David Layani n’a jamais eu peur d’afficher ses ambitions ! Une vraie qualité d’entrepreneur. Aujourd’hui, il est à la tête d’un groupe colossal à 500 millions d’euros de chiffre d’affaires avec le milliard en ligne de mire. Sa grinta l’a récompensé !

IL L’A DIT

« Il faut oser l’optimisme en ce moment. On a d’immenses questions à se poser sur ce qu’est en train de devenir le travail, quels vont être les métiers de demain, comment va-t-on repenser nos propositions de valeurs… Et surtout une question qui me hante, comment va-t-on éduquer nos jeunes ? Cela devrait être notre priorité. Chez onepoint, on se place du côté de l’innovation. Je suis certain que l’on peut trouver beaucoup de solutions à nos problématiques environnementales, à nos problèmes de souveraineté économique ou de sécurité. Il y a vingt ans, on a raté quelques trains avec l’arrivée de Google par exemple, on a juste pensé à légiférer, encadrer… On ne peut pas être ceux qui regardent le train passer pendant que les autres innovent et que certains copient. “On ne naît pas femme, on le devient”, disait Simone de Beauvoir, c’est un peu pareil avec les entrepreneurs. »

Une véritable leçon d’entrepreneuriat. À l’heure où la tech vacille et montre des signes d’une crise financière profonde, notre entrepreneur de l’année fait déjà preuve de résilience. Rien ni personne n’arrêtera son désir d’innover et de proposer de nouvelles solutions. C’est ça, être un vrai entrepreneur !

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