Les perdants regardent les obstacles, les gagnants les destinations

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AUJOURD’HUI, JE PLACE MES PROPOS…

… sous le signe de la résilience face à toutes les crises. Covid, économique et sociale, séparatisme. Au nom de cette devise sportive dont on ne connaît pas l’auteur, « les perdants regardent les obstacles, les gagnants, la destination ». Je pense qu’elle correspond pleinement à l’idée de la résilience. Les crises ne vont pas nous emporter éternellement. L’idée du rebond doit nous habiter.

LA PERSONNALITÉ

qui répond le mieux en ce moment à l’une de ces crises, c’est à mes yeux Bruno Le Maire, dans ses habits de ministre. Il est sur tous les fronts pour aider partout les entrepreneurs, les structures, les associations, les personnes. On peut discuter et critiquer la gestion de la covid, mais sur le plan économique, des finances, le gouvernement s’est montré à la hauteur, il illustre ce que doit être un gouvernement de mission.

L’ÉVÉNEMENT

publié sur le site du Figaro, l’appel de six femmes de culture musulmane dont Sonia Mabrouk, présentatrice de CNews, qui ont pris position contre l’islamisme idéologique et politique, contre le communautarisme. Cet appel mérite d’être soutenu. De même l’ensemble de la communauté musulmane française pour éviter la confusion et l’amalgame qui trop souvent s’emparent de ces crises. Il faut souhaiter une large mobilisation face à cette crise du séparatisme que nous vivons.

L’ENTREPRISE

Si les perdants regardent les obstacles, les gagnants, la destination, il est clair qu’il faut penser maintenant à l’après-crise. Si je m’élève contre l’idéologie écologiste qui semble donner la priorité à la nature contre l’humain, je revendique notre responsabilité face au dérèglement planétaire qui nous assaille. Parmi bien d’autres entreprises, Saint-Gobain a lancé un programme de neutralité carbone, certes sur la longue durée puisque son programme s’achève en 2050, mais il est lancé. Nous devons faire face aux crises et penser au monde de demain, à une croissance verte, pour finir par trouver un jour l’équilibre entre le bien-être des humains aujourd’hui et ceux qui nous succéderont, et une planète en meilleur état.

UN CLIN D’ŒIL

à une dame que beaucoup connaissent, Florence Servan-Schreiber, notre professeure de bonheur qui depuis longtemps accompagne le Printemps de l’optimisme, et qui malgré ses superpouvoirs* a été contaminée par le coronavirus. Au repos pour quelques jours, elle rappelle que « tant d’ajustements sont requis de nous que l’adaptation permanente est devenue le dernier cri ». 

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