Vite compris le 9 décembre

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WirecardLe procès Wirecard • Le plus grand scandale de l’Allemagne d’après-guerre selon un certain Olaf Scholz Markus Braun, patron de Wirecard, devra répondre de ses actes au Tribunal de Munich. Le procès a démarré ce jeudi 8 décembre et devrait s’étendre jusqu’en 2024. Pour rappel, Wirecard est une société de paiement en ligne qui a provoqué un krach boursier en 2020 chez nos amis d’outre-Rhin. L’entreprise rassurait ses investisseurs grâce – entre autres – à de l’argent fictif. Plus d’1,9 milliard d’euros d’actifs n’auraient finalement jamais existé. Le scandale a éclaboussé jusqu’aux plus hautes sphères de la société allemande. Il met notamment en lumière la « négligence » du superviseur allemand des marchés financiers.

L’État a fait office de tampon silencieux Souvent mis en cause dans l’envolée des factures d’énergies, la dernière étude des Échos nuance cet élan social. Elle tend à prouver que le gouvernement a tenté – tant bien que mal – de protéger ses citoyens. Les pertes de revenus réelles liées à l’inflation atteignent 85 milliards d’euros en cette fin d’année. L’État en a assumé 52 %, les entreprises 42 % et les Français 6 %. Sans les différentes mesures de soutien mises en place tout au long de 2022, les ménages français auraient supporté 32 % de ce déficit.

Un nouvel entrant dans l’espace Schengen Bienvenue à la Croatie ! Elle rejoint les 26 pays qui composent déjà cet espace de libre circulation. Le pays de Zoran Milanović s’est appuyé sur son grand pouvoir touristique pour obtenir gain de cause. Ainsi, grâce à son adhésion, les routes aux frontières de la Croatie devraient se désengorger. Les visiteurs devaient, jusque-là,  passer un contrôle douanier pour entrer et sortir. Les dirigeants autrichiens voient d’un mauvais œil cette nouvelle venue. Eux qui craignent une recrudescence de migrants à cause de cet accès facilité.

88 % des salariés prêts à postuler ailleurs s’ils n’obtiennent pas gain de cause HelloWork a réalisé une étude pour la prochaine période de négociation salariale obligatoire. Elle s’ouvre, cette année, dans un contexte difficile pour le patronat. La pénurie de main d’œuvre confère aux employés un pouvoir de négociation insoupçonné. Alors pour 88 % des interrogés, c’est le moment d’exiger une augmentation digne de ce nom. Sans quoi ils claqueront la porte ! Toujours selon HelloWork, environ 8 % de revalorisation est exigée en moyenne mais seulement 5 % des entreprises sont prêtes à l’accorder. 

Les jeunes ont toujours des convictions ! À l’aide de la société d’étude BVA, l’Institut de l’Engagement a pu mettre la lumière sur les nouvelles manières de s’engager. Celles qui sont propres aux jeunes générations. Fini l’engagement – presque marital – à un parti politique ! Aujourd’hui, les jeunes s’engagent par le biais de pétitions (41 % du panel interrogé) et de boycott (51 %). Sur l’aspect professionnel, ils sont 21 % à avoir déjà renoncé à un poste pour des raisons éthiques. Un chiffre qui s’élève jusqu’à 30 % pour les jeunes titulaires d’un bac+5. Mutation de « l’esprit 68 » ?

Noël au bureau, la magie prend ! C’est une tradition dont on entend de plus en plus parler, Noël entre collègues semble se démocratiser. L’entreprise de location de bureaux, Deskeo, s’est penchée sur le sujet et a réalisé une étude. Il en ressort que 81,9 % des entreprises organiseront un repas spécial en cette fin d’année. Autre preuve que l’esprit de Noël embaume même les cadres les plus formels, 70,8 % des Français affirment avoir déjà offert un cadeau à leur collègue. Pensez-y pour les prochains jours, peut-être qu’une surprise vous attend !

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