Vite compris le 4 avril

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Mauvais trimestre pour le marché automobile français Mars 2022 boucle un trimestre en demi-teinte pour les groupes automobiles français. Par rapport à la même période en 2021, les immatriculations de voitures neuves ont reculé de près de 20 %, selon les statistiques publiées par la Plateforme automobile (PFA). Une mauvaise performance qui fait suite à celles de janvier (-18,6 %) et de février (-13 %). Bref, c’est le pire trimestre du marché automobile français depuis 40 ans ! Le rebond attendu des ventes s’annonce de plus en plus improbable dans ce contexte. Les chiffres catastrophiques de ce début d’année 2022 montrent que le marché peine encore à se remettre des pénuries de semi-conducteurs et des pertes de ventes de deux années écoulées. Pire, ce mois de mars porte à 10 le nombre de mois consécutifs de baisse du marché automobile.

Intel s’installe à Paris-Saclay Grande nouvelle pour la « Silicon Valley à la française ». Intel, le deuxième fabricant mondial de semi-conducteurs et cador de la tech va implanter son centre de recherche et développement (R&D) européen à Paris-Saclay. Le site devrait être opérationnel en 2024 et employer à terme plus de 1 000 personnes. Le groupe états-unien ambitionne de faire de la France le siège européen de son futur « écosystème de développement et de fabrication » de semi-conducteurs de nouvelle génération.

Les entrepreneur·ses pour Macron Rien de neuf sous le soleil, les chef·fes d’entreprises français·es favorisent Emmanuel Macron pour l’élection présidentielle. Selon un sondage OpinionWay pour Legalstart, plus de la moitié des patron·nes (52 %) se disent prêt·es à voter pour le président sortant. Pas de surprise donc, les dirigeant·es gardent en tête le soutien apporté aux entreprises pendant la crise, et du reste des coups de pouce de la macronie. Loin derrière, au deuxième rang avec 10 % des intentions de vote, c’est Éric Zemmour qui se positionne. Seulement troisième, la candidate des Républicains Valérie Pécresse affiche 9 % d’intentions de vote, comme Jean-Luc Mélenchon (9 %), qui progresse de 6 points.

Réchauffement climatique : le transport maritime va payer le prix fort On le sait, les effets du changement climatique s’amoncellent (canicules, montée des eaux et inondations…). Et s’annoncent dévastateurs, selon les prévisions du Giec, mais aussi coûteux. C’est notamment le secteur du transport maritime qui devra payer le prix fort de l’inaction climatique, selon un rapport de l’ONG américaine Environmental defense fund (EDF). D’après l’étude, l’adaptation forcée des infrastructures à la montée des eaux et des températures, ainsi que leur endommagement, pourraient coûter près de 25 milliards de dollars par an à l’industrie du transport maritime d’ici à 2100. Pour rappel, selon le Giec et son scénario d’émissions élevées, le niveau des océans pourrait s’élever d’un mètre d’ici à 2100.

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