Temps de lecture estimé : 2 minutes
L’excellence académique à la française • Le classement QS des universités par matière est paru pour sa treizième édition. Malgré les moyens conséquents avancés par les écoles privées, les universités françaises se démarquent encore cette année. Pour un total de 1 600 institutions classées, 73 établissements français y figurent. Tous classements confondus, les établissements français les mieux classés sont l’Insead (2e en business et management), Sciences Po (3e en sciences politiques et études internationales), le Conservatoire national de musique et de danse de Paris (2e en arts du spectacle) et HEC Paris (6e en marketing et 10e en business et management).
Un air de déjà vu • La première visite d’État du roi Charles III à Paris, initialement prévue du 26 au 29 mars, a été reportée. Le véritable chaos qui règne actuellement sur la capitale n’a pas du tout rassuré les sujets, outre-Manche. Un dîner avec le roi au château de Versailles aurait par ailleurs, et très certainement, été très mal reçu comme message envoyé au peuple. Des écologistes avaient déjà appelé à « perturber le moment princier d’Emmanuel Macron », sans oublier la charmante promenade sur les Champs-Élysées qui était au programme. Il y avait « un air de 1789 » d’après les médias britanniques qui étaient sur place.
Riposte américaine • Onze combattants pro-iraniens ont été tués dans la nuit de jeudi à vendredi 24 mars par des frappes de l’aviation américaine dans l’est de la Syrie. Cela a fait suite à une frappe de drone contre une installation de maintenance d’une base près d’Hassaké, dans le nord-est de la Syrie, qui avait causé la mort, jeudi 23 mars, d’un sous-traitant américain et fait six blessés, dont cinq soldats. « J’ai autorisé les forces du commandement central des États-Unis à mener des frappes aériennes de précision ce soir dans l’est de la Syrie contre des installations utilisées par des groupes affiliés aux corps des gardiens de la révolution iraniens ». Annonce du secrétaire à la défense américain, Lloyd Austin.
Encore une autre ? • Le titre de la Deutsche Bank, la première banque allemande, a chuté vendredi 24 mars de plus de 10 %. Cela fait suite à la forte augmentation du coût de l’assurance contre le risque de défaut, qui alimente les inquiétudes sur la résilience des banques européennes. « La Deutsche Bank a fondamentalement modernisé son modèle économique. Il n’y a pas lieu de s’inquiéter de quoi que ce soit », a estimé le chancelier Olaf Scholz à l’issue d’un sommet européen à Bruxelles. Sérénité surjouée ?