Vite compris le 7 juillet

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BlackRockBlackRock change d’avis • « Le bitcoin montre simplement l’ampleur de la demande de blanchiment d’argent dans le monde », fustigeait Larry Fink, le PDG de BlackRock en 2017. À l’époque, le plus grand gestionnaire d’actif au monde n’a pas su déceler le potentiel de la monnaie numérique reine. Mais depuis, le bitcoin a atteint des sommets et est devenu un actif international des plus sérieux. Alors, chez BlackRock, on lance l’opération « rétropédalage avec option flatteries ». Larry Fink qualifiait d’ailleurs le bitcoin d’ « or numérique » ce mercredi 5 juillet lors d’une interview accordée à Fox Business. Il n’en fallait pas plus à la cryptomonnaie pour repartir à la hausse. Elle dépassait, hier, le seuil des 31 500 dollars. Son plus haut depuis plus d’un an.

Des salariés « boomerang » ? • Après la Grande démission viennent les grands remords. L’étude du cabinet Robert Walters constate que 60 % des cadres qui ont démissionné après la crise covid-19 regrettent leur décision. Avec quelques corrections, notamment sur le salaire ou le management, 71 % des anciens démissionnaires pourraient retourner à leurs employeurs d’avant crise et jouer cet effet « boomerang ». Bonne nouvelle, de l’autre côté, on regrette aussi cette séparation inopinée. 85 % des managers se disent prêts à réengager un ancien collaborateur. Sans rancune ?

Meta veut concurrencer Twitter Le réseau s’appelle « Threads ». Et il compte bien menacer l’hégémonie de Twitter sur le marché des réseaux sociaux de « microblogging ». Un thread, c’est une expression déjà utilisée et identifiée du jargon de l’oiseau bleu, il définit une suite de tweets à dérouler. En optant pour ce nom, le PDG de Meta Platforms Mark Zuckerberg, la joue agressive et revendique son positionnement. Rappelons que son groupe est déjà coutumier du fait. Meta avait déjà largement copié certaines idées de Snapchat pour les intégrer à Instagram… Bref, coup dur pour Twitter qui essuie déjà nombre de polémiques depuis quelques mois…

Les petites entreprises devraient connaître un recul du volume d’affaires ! • L’indice de confiance des patrons de PME et TPE n’est pas prêt de remonter ! Selon Bpifrance, la plupart d’entre eux redoutent d’ailleurs une croissance aux alentours de 1 % sur un an. Coup dur après une année 2022 à presque 6 %. Dans le détail, ils sont plus nombreux à penser que leur chiffre d’affaires de l’année devrait baisser (21 % contre seulement 17 % en 2022). Parmi les secteurs les plus touchés par cette inquiétude latente : la construction et le commerce en détail.

La nano-grande guerre bat son plein • À partir du 1er août, les exportations de gallium et de germanium (deux métaux indispensables à la fabrication de puces électroniques) seront régies par des autorisations chinoises. Cette mesure vient en réponse à la rétorsion technologique qu’exercent les États-Unis depuis plusieurs mois sur ce marché des semi-conducteurs. L’entreprise taïwanaise TSMC – première fabricante de nanopuces au monde – minimise pour l’instant cette nouvelle restriction. « Après évaluation, nous ne nous attendons pas à ce que les restrictions sur ces matières premières, le gallium et le germanium, aient un impact direct sur la production de TSMC », ont-ils indiqué.

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