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L’ONG Foodwatch signale la présence d’hydrocarbures d’huiles minérales dans les aliments • L’ONG Foodwatch alerte sur la présence de substances d’hydrocarbures d’huiles minérales dans certains aliments : bouillons cubes (Léa Nature) , chocolats, pâte à tartiner (Nutella). Ces substances, invisibles à l’œil nu, sont soupçonnées par les autorités sanitaires d’être cancérogènes et mutagènes. Foodwatch pointe du doigt l’absence totale de réglementation et appelle à instaurer une politique de « tolérance zéro » dans tous les aliments et partout en Europe. Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), ces huiles minérales seraient définies comme « des mélanges complexes issus du pétrole brut ». Sur 152 produis testés, l’ONG a constaté la présence d’hydrocarbures saturés d’huile minérale (MOSH) dans 140 cas. Des traces d’hydrocarbures aromatiques d’huile minérale (MOAH) ont été détectées dans un produit sur huit. Les autorités sanitaires appellent donc à limiter l’exposition du·de la consommateur·rice à ces substances.
Les directeur·rices des médias et les sociétés de journalistes appellent à des « conditions de sécurité élémentaires » • Les directions de 19 médias ont lancé un appel à la responsabilité des candidat·es lors des élections présidentielles. Elles pointent du doigt les multiples scènes de violence perpétrées à l’encontre de plusieurs journalistes lors d’un meeting du candidat Éric Zemmour, début décembre. Les journalistes demandent aux candidat·es à la présidentielle de respecter l’information et le travail des journalistes.
La Commission européenne renforce les droits des travailleur·ses des plate-formes numériques • Bruxelles a décidé de réguler les conditions de travail des employé·es des plate-formes Internet (Deliveroo, Uber, Bolt…). La vice-présidente de la Commission européenne pointe du doigt des « risques pour la santé et la sécurité » et un « faible accès à la protection sociale ». Ainsi, si une application répond à deux de ces cinq critères – les niveaux de rémunération, la supervision des prestations, le droit des employé·es à choisir leurs horaires ou à refuser des tâches, le port de l’uniforme imposé ou encore l’interdiction de travailler pour d’autres entreprises – la plate-forme serait présumée « employeur » et devrait se soumettre aux obligations du droit du travail. À savoir salaire minimum, temps de travail, normes de sécurité… Pour l’heure, 500 entreprises et 28 millions de travailleur·ses seraient concerné·es dans l’UE.
PME /TPE : bientôt une semaine de quatre jours ? • Depuis le début de la pandémie, de plus en plus de TPE/PME testent la suppression d’un jour de travail dans la semaine. Puisque les salarié·es seraient plus épanoui·es et travailleraient plus efficacement. La durée de travail hebdomadaire reste inchangée, ce qui signifie qu’aucune perte de salaire ne serait à déplorer. Une aubaine pour les employé·es à l’heure où le bien-être au travail devient une priorité.