My’Spresso, café biologique issu du commerce équitable

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Qui ? My’Spresso
Quoi ? Un service pour le café en entreprise. Performant, écologique, équitable.

Un être vous manque et tout est dépeuplé. Lorsque la machine à café tombe en panne, c’est la panade au bureau : la grève générale n’est pas loin. Il faudrait se pencher sur l’impact de cette « boisson énergétique psychotrope stimulante » qui, pour bien des Français, est un indispensable pour tenir. Tenir face à l’hiver, la fatigue, la pression…

69 % des Français consomment du café quotidiennement. 41 % le font plusieurs fois par jour (enquête ObSoCo, 2021). Un marché gigantesque et pourtant très éclaté. Peu d’innovations sont à noter depuis la fameuse machine à capsule si bien promue par les charmes de George Clooney. Pour autant, la qualité du café, en France, laisse souvent à désirer… Notre peuple épicurien et esthète se contente souvent d’un café assez bas de gamme. Rien à voir évidemment avec l’Italie, où « l’expresso » est une véritable institution, mais également avec d’autres pays comme la Belgique, où celui-ci est de bien meilleure facture… Et souvent plus abordable.

Voilà où intervient la formidable innovation My’Spresso. Un concept innovant qui peut tout changer dans le monde du café en entreprise. L’idée est simple (comme toutes les bonnes). Fournir aux entreprises une pléiade de services autour du café. Faire de ce moment simple en apparence une expérience véritable. Le tout avec un impondérable, la signature de My’Spresso. Un café biologique issu du commerce équitable. Pérou, Colombie… Thomas Kralski, co-fondateur de l’entreprise, l’indique : « Nous achetons le café à un prix deux à trois fois plus élevé que le cours de l’arabica. » Impact social positif.

Derrière My’Spresso, il y a une véritable stratégie RSE. Le café, moment plaisir en entreprise, est un bon moyen pour installer un réflexe écologique plus fort. Se montrer « mieux-disant » en la matière. My’Spresso s’investit pleinement dans l’éco-recyclage et propose de réutiliser le marc de café – paré on le sait de toutes les vertus.  La qualité supérieure de ce café est aussi un moyen de montrer à ses salariés qu’on les chouchoute.

Des entreprises comme Le Slip Français, Frichti, Flixbus ou Coyote s’y montrent fidèles. Car au-delà de l’empreinte écologique et sociale, durable, My’Spresso se montre particulièrement redoutable en termes de service entreprise. Une équipe de techniciens est prête à intervenir en cas de problème et livre très régulièrement les précieuses graines choisies avec la meilleure minutie.

Les frères fondateurs

Thomas et Kamil Kralski, les frères fondateurs de cette entreprise, se sont investis, dès leur prime jeunesse, dans l’aventure caféinée. Thomas Kralski n’attend même pas la fin de ses études pour s’élancer. Il demande une dispense à son école de commerce et fonce dans l’aventure entrepreneuriale. Son frère quitte son poste chez Audi pour le rejoindre. Le business familial est né.

Leur ambition ? Que les Français aient un jour, en matière de café, les mêmes exigences que pour le choix d’un vin. En bref, les convaincre de faire leurs adieux à la capsule… Les aider à mieux comprendre les mystères de cette fabuleuse graine torréfiée. Les deux co-fondateurs le signalent : « Tout comme l’œnologie, la dégustation du café est un art. »

Prochain objectif pour les frères ? Passer d’une optique b to b (comprendre « business to business ») à une stratégie b to c (comprendre « business to consumer »). En bref, investir les étales et les rayons. Proposer leur gamme de cafés qualitatifs à tous les publics. Un nouveau pari qui n’effraie pas nos deux conquérants. Même s’il est corsé. C’est encore mieux.

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