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Qui ? Antilogy
Quoi ? Une entreprise spécialisée dans le conseil et la formation aux nouveaux outils de métavers et réalité virtuelle.
Le métavers, réalité augmentée, réalité virtuelle… Depuis quelques années maintenant, ces terminologies presque hostiles ont fait irruption dans le langage quotidien des professionnels. Beaucoup n’y étaient pas préparés. Beaucoup n’y comprennent toujours pas grand-chose…
…Alors Antilogy est née. À sa tête, Bertrand Wolff, expert en matière de réalité virtuelle et métavers. Et autour de lui une équipe compétente qui promet à ses clients un accompagnement complet pour enfin dompter ces nouvelles technologies.
« Le métavers, c’est un peu comme une nouvelle Renaissance, explique le co-fondateur. Tout y est possible. » Alors mieux vaut savoir l’utiliser ! Ce nouveau monde mêle l’art, la sécurité et de nouvelles manières de sociabiliser. À la manière d’un Michel Ange en ces temps, le métavers ouvre le champ à une créativité sans limite. « Vous pouvez acheter un terrain, quelques ares digitaux et en faire ce que vous voulez. Vous pouvez vous y balader, créer des pièces spéciales et même les décorer », soutient Bertrand Wolff avec passion.
Alors très vite cet univers s’est ouvert au monde des entreprises. Le potentiel en matière de formation, d’étude de cas d’usage et de communication est illimité. Les sociétés doivent maintenant choisir si elles prennent en route cette révolution ou si elles la laissent filer.
Le métavers comme formation au Pavillon
L’équipe d’Antilogy a son lieu d’acculturation, à Paris dans le XIe arrondissement. Le Pavillon accueille chaque jour des professionnels qui viennent tester les outils du métavers. « Le frein à la démocratisation du métavers, c’est la méconnaissance. C’est une technologie expérientielle, si l’on ne l’essaie… difficile d’imaginer ce que l’on ressent ».
Alors, ce Pavillon accueille toutes les entreprises prêtes à s’ouvrir à ces nouvelles méthodes de travail. À l’aide de 200 producteurs de contenus en réalité virtuelle et augmentée, l’équipe de Bertrand Wolff propose plus de 500 cas d’usages b to b. Ils s’adressent essentiellement à des professionnels des ressources humaines et marketing.
Mais ces outils sont encore plus complets que ça. Ils mettent en scène toutes les situations imaginables en entreprise. Par exemple un rendez-vous commercial ou une situation d’urgence dans une industrie. Bertrand Wolff le concède alors volontiers, le métavers s’applique à tous les corps de métiers : « Tous les secteurs d’activité sont potentiellement concernés par les intérêts de la réalité virtuelle. »
Le métavers comme outil de coopération
« La vraie réalité virtuelle, c’est celle qui est sociale », Bertrand Wolff n’en démord pas, pour lui le métavers est un outil de collaboration très puissant.
Aujourd’hui, avec le métavers il est possible de créer une salle de réunion permanente dédiée à un sujet. On peut s’y rendre quand on le veut, y déposer des documents. Rien ne sera dérangé. Cette salle sera là éternellement, laissé en l’état et accessible seulement par les personnes autorisées.
Le travail à distance, adopté par de nombreux Français au moment des différents confinements, a permis de maintenir l’économie à flots. S’il s’impose comme une méthode de travail à part entière, il doit tout de même s’améliorer. Les réunions Zoom and co manquent d’humanisme, la communication non-verbale – si importante dans notre manière de nous exprimer – est reléguée au second rang.
Alors, par le biais d’outils de réalité virtuelle et les efforts d’Antilogy, le métavers semble être le compromis parfait.