Un bon entrepreneur, selon le patron, doit cumuler trois expertises : l’énergie commerciale, la maîtrise du marketing et du produit, l’administratif et la maîtrise de l’ebitda ...
Mis au pied du mur, nombre d’entrepreneurs se sont tournés vers le numérique pour traverser au mieux la crise liée à la pandémie. Et les réseaux d’entrepreneurs ont répondu présent pour les aider – et ne vont pas s’arrêter de sitôt.
Si les confinements ont mis à mal ce lien/liant social qu’est le bureau, des solutions, le plus souvent des adaptations de formules en présentiel, apparaissent pour maintenir le contact.
Les Forces françaises de l’industrie déploient un réseautage digne d’une certaine Résistance revendiquée : volonté de participer, de façon pratique, à la réindustrialisation de la France et la montée du made in France. Premier résultat : un accélérateur pour PME industrielles en France.
Face aux difficultés inédites qu’affrontent étudiant·es et les jeunes diplômé·es, avec un marché de l’emploi particulièrement impacté par la covid, les réseaux n’ont pas hésité à se mettre à l’action, pour fournir des stages, des offres d’emploi, des rencontres, des coups de pouce… Une mobilisation précieuse pour les futur·es « ancien·nes
Aujourd’hui, la Fédération des Premières regroupe dix incubateurs en France, dans les territoires d’outre-mer et à l’international. Et il s’agit bien d’incubateurs avant tout.
L’idée reste d’organiser des rencontres mensuelles autour de l’économie, du vin et de la gastronomie, dans des cadres d’exception – à Paris, en mélangeant conférences, discussions et dégustations.